Lors d’un point de presse tenu ce samedi 07 juin 2014
dans es locaux du ministère de l’économie et des Finances, les autorités
guinéennes et les services du fonds monétaire international (FMI) ont conclu un
accord sur ensemble de politiques qui, sous réserve de l’approbation de la
direction général du conseil d’administration du FMI, pourrait être supporté par
le cinquième décaissement de 18,36 millions de DTS (soit environ 28 millions de
dollars) prévu par l’accord au titre de la FEC. A-t-il fait savoir M. Harry
Snoek, chef de mission du FMI à Conakry, après deux semaines de négociation
intense avec les experts de la FMI et la Banque Mondiale dont des résultats
encourageants ont été enregistré au titre de la quatrième revue de la facilité
élargie des crédits négocier de comme un accord avec les autorités de Fonds
Monétaire.
Les
entretiens étaient centrés sur les derniers développements liés à l’économie
Guinéenne frappée par des contraintes externes et internes en raison de l’épidémie
Ebola au premier trimestre de l’année et la relance du secteur minier qui tarde
à venir.
Le chef de
mission du FMI à Conakry, Harry Snoek a dans sa déclaration, énuméré des
performances enregistrées par le pays en 2013. Parmi ces performances, le chef
de la mission dira ceci : « la maitrise du déficit budgétaire, l’atteinte
de tous les objectifs quantitatifs du FEC, la baisse continue de l’inflation
(de 13% fin 2012 à 10% en avril 2014), le maintien à un bon niveau des réserves
internationales de la banque centrale et la stabilité du taux de change du
franc guinéen».
S’agissant l’activité économique, M. Harry Snoek a souligné que des données préliminaires suggèrent qu’elle a été faible durant les 5 premiers mois 2014. Selon lui, cela reflète par l’impacte de l’épidémie Ebola, mais aussi des déficits persistants de la production d’électricité et le progrès lents dans les reformes structurelles dont le code d’investissement.
S’agissant l’activité économique, M. Harry Snoek a souligné que des données préliminaires suggèrent qu’elle a été faible durant les 5 premiers mois 2014. Selon lui, cela reflète par l’impacte de l’épidémie Ebola, mais aussi des déficits persistants de la production d’électricité et le progrès lents dans les reformes structurelles dont le code d’investissement.
« rebond de
la croissance est projeté dans la seconde moitié de l’année grâce à une
production agricole, une augmentation des dépenses publiques d’infrastructures
et une reprise graduelle de l’activité minière après la récente signature du
cadre d’investissement du projet de minerai de fer du Simandou. Les
autorités visent une baisse de l’inflation à 8,5% fin 2014 ; les réserves
devraient représenter environ trois mois d’importation. Dans les limites de ces
autorités vont continuer à desserrer progressivement la politique monétaire
pour supporter la croissance. Nos a confié Harry Snoek.
A retenir que, la mission du FMI a insisté sur le besoin d’accélérer les reformes structurelles pour le potentiel de croissance de la Guinée et l’amélioration des conditions de vie de la population. Elle a également encouragée l’adoption rapide du code d’investissement pour réduire l’incertitude et promouvoir les investissements.
A retenir que, la mission du FMI a insisté sur le besoin d’accélérer les reformes structurelles pour le potentiel de croissance de la Guinée et l’amélioration des conditions de vie de la population. Elle a également encouragée l’adoption rapide du code d’investissement pour réduire l’incertitude et promouvoir les investissements.
La mission
de FMI se réjouit du nouveau plan d’action pour les reformer la justice et
encourage les autorités à finaliser rapidement les textes d’applications du
code des marchés publics et du code minier.
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